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L'Explorateur Moderne

Lundi 28 octobre 2013 à 13:02

 Oh my dear Sun,

On me I saw you happen,
The wind is too high for my draws.
Please apologize myself when I forget your name.
Make my skin a map of the sky.

Drink my words and forget my lonely soul.

My shadow will be your slave as my price is to live in a better world.

Please accept this redemption.


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Soon, soon I will come.

If I write songs, it's for my own pleasure. Then pleasure is growing.
My friends do the same.
My family has already done it.
This is what we should call the perfect circle.

The truth is not important.
Feeling the true hapiness is.

It is thanks to the sharing of expressions that I know I'm alive, and this has no price.
It means no limit of time for me.
 

Happiness can be so enjoyable when you know who you are.
It is not a big deal to bit the apple of Truth.

The main thing, according to me, it's not to get lost in your own happiness. As long as you share it with the people around you, no fear can attack you.

The Evil and the God are two friends.
Every point of view mst have an interest to stay in this planet.

Do not forget that Life is our common gift.
Be thanksfull, and the positive attitude will come up to you, as easy as when you were born.

This is thanks to the others.
Just play the game. Fall sometimes, and learn.

All that you laready know will stay forever somewhere in your body or out of it.
Only yourself can trust yourself first.

The beauty is that there's no limit to beauty.
As infinity can't be defined;
As long as the present is right now.
As long as you're hoping for few details to improve yourself.

Words are easy to write, but they need few sacrifices to be in the right order.
In all the dimensions.
In all logical.
Existence is One Unit.

This unit has as many names as you want to.
Memory is a gift. Make it growing up.

And when the day of mentalities will die, something else will happen.

This is the way of life, however you feel it, beauty stays beautiful.

Don't be selfish, you'ill day will come too, I'll be proud of all you'll have done in the respect of the order we created together. 

 



Samedi 26 octobre 2013 à 15:39


 « Il n'y a plus rien à dire, alors je m'enfuis. Je cours le long de ces routes qui ont formées mon enfance. Ne me dites pas de regarder en arrière, mes pensées refusent. J'avance face à mes erreurs. Je ne peux plus rester dans ces courroies, laissez-moi tracer mon chemin plus rapidement que nous ne pourrez jamais me comprendre. Je ne vous laisserai pas me retrouver, je ne vous donnerai aucune raison pour laquelle je serai resté à vos côté. »
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Samedi 26 octobre 2013 à 15:35

 Écrire procure la liberté des dieux, une création sans la moindre crainte de l'encre écoulée.

Parler des détails en silence, violer des pages vierges pour leurs imposer des directions.

Mon stylo peut sembler souple et inoffensif, mais c'est un réel pouvoir qu'il porte et transporte au fur et à lecture des lignes.

C'est lui qui donne l'espace au vide et le sens au temps. Il métamorphose les métaphores et dévore les âmes des plus sensibles d'entre nous.

 

« Parle à toi-même et ferme-la: pense . »

 

Tous les instants sont saisis et se ressaisissent. Tous les maux sont revus et corrigés en mots.

C'est l'instrument qui accorde les arts et les rassemble dans des meetings spectaculaires.

C'est lui qui dirige les peuples et ordonne les logiques.

C'est la beauté de la beauté, l'excitation de l'excitation, l'Être de l'Être, c'est écrire une pensée sincère.

L'inspiration devient respiration. Le nouveau souffle d'un crayon nais. La liberté danse sur la page blanche.

Le stylo redessine la surface du monde parfois sans qu'on s'en aperçoive. C'est un précieux allié comme unique arme blanche face aux milliers de destins croisés ces dernières semaines.

 

L'écriture accomplie l'irréel, comme une déjection cérébrale. La reine de la nuit traverse les tabous et laisse les suspens mener leurs bien jusqu'au comble de l'émotion.

Elle mène l'âme vers une pensée à immortaliser à jamais dans son intime secret. Une confession entre papier et encre.

 

Parfois elle prend son congé pour se dorer à la plage.

 

L'arbre dispose de toutes ses feuilles au petit matin. L'homme en prend soigneusement racine. Quelques poètes s'improvisent jardiniers pour cueillir dans ce parc aux lettres qui n'appartient qu'à eux. La plante des rimes préserve ses secrets pour sa culture sacrée. Chaque mot est une pelleté supplémentaire, il faut des efforts pour creuser à travers les fins fonds abysses de cette connaissance. Croque la pomme et tais-toi.

 

Écrire une page par jour comme pour seul traitement face à la schizophrénie des esprits.

Écrire, comme si cela posait une différence, une convalescence par les mots.

Écrire non pas par obligation mais par libération.

Écrire pour ne rien dire, puis feuilleter ses souvenirs.

L'encre qui coule est signe de bonne inspiration, même si parfois je saigne noir.

 

Elle est une des grandes raisons pour laquelle je vis. Elle me stimule au plus profond de moi-même, comme un piano auquel on ne pourrait qu'inscrire des goûts orgasmiques.

Change de feutre comme tu changes d'avis. La page retournée est comme une réflexion de plus à ajouter à mon palmarès. Traitons la poésie de tous les noms, cela ne fera que lui plaire davantage.

Une tâche d'encre en plein milieu d'un texte. A vous de deviner la partie cachée.

 

Tant qu'il y a de l'écrit il y a de l'espoir. Conjuguons les hommes!

 

 

 

« La page est pleine, merci de votre passage »

Samedi 26 octobre 2013 à 15:33

 Voyager de l'autre côté des paupières. Le plus profond et lointain des voyages. Une destination au ticket aller-simple et au moindre prix.

Sortir, s'évader, s'enfuir, sans même bouger son corps.
Deviner ce qu'il se trame en ce moment sur la Lune et pourquoi pas au-delà.

 

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C'est la recherche de l'éveillé.

Écouter les silences.

Voir les invisibles.

Goûter l'air.

Sentir le vide.

Ne plus toucher pendant un instant: se fondre en soi comme une noix enrobée de chocolat. Besoin d'un café.

 

Ressens cet air, il n'attend plus que ton visage pour y venir murmurer ses secrets.

 

Je dessine avec précaution une carte de mon esprit afin de voir virevolter ma galère des sens de droite à gauche. La liberté comme seule direction. Un plat savoureux croqué en plein cœur.

Voici un nouveau vertige pour le funambule. Le saut sans élastique peut s'élancer dans un abandon total à toute rationalité.

 

 

L'or bleu est un avenir de promesses. Je prends une dernière photo du port qui m'a porté jusqu'à cet instant incertain. L'aventure est un phénomène que l'on ne peut décliner qu'uniquement si on l'a vit.

L'ancre est levée. Esclave du vent, le navire s'élance dans l'Océan des larmes. L'équipage siffle le son du silence pour laisser place aux rivages sans âges.

Les songes des marins ne forment plus qu'un face au trésor qui se déploie devant eux. La nature scintillante de toute sa beauté. Chaque image est un diamant sans nom, aussi précieux que la plus intime des émotions. Un cap sur l'eldorado des souvenirs.

 

Seul capitaine à la barre, je m'oriente vers les quatre saisons des poèmes, avançant à la puissance des quatrains et des alexandrins de mes semblables.

Encore une nouvelle vague vers l'Ailleurs.

La planète bleue ne se nourrie désormais plus que des plus belles sensations qu'offrent le monde et je vole au-dessus de l'or azur. Un saphir sous ma coque.

Voici une virée pour le paradis, un verre trinqué à la bonne santé de l'enfer.

L'univers n'a comme limite que notre imaginaire alors je les repousse avec joie et ambition. Le spectacle commence en noir et blanc et fini sous un tonnerre d'applaudissements aux couleurs psychédéliques. Le navire décolle de plus en plus. Les sens trouvent alors un nouveau sens à leur essence.

Une harmonie vogue paisiblement à destination du 7ème étage de l'hôtel Nirvana. L'impact promet d'être unique. Une Atlantide céleste attend le vaisseau en bon port.

 

Au large on aperçoit un village lointain nommé « promesse ». Les cheminées dégagent une fumée violette.

Il est minuit, le nouvel éclat commence déjà.

 

Je partage l'horizon avec mes matelots qui m'ont accompagné depuis le début de ma vie et observe leurs yeux aux regards différents. Ils semblent se sublimer de flots en flots face à cette existence. Les conversations prennent alors des formes philosophiques pour des soirées uniques.

 

Je poursuis ma route à pleine vitesse, les yeux fermés sur ma conscience.

L'évasion comme unique routine face aux éclats de la nuit.

 

 

 

. « Si je savais dessiner alors je reproduirai mes rêves, avec plus de couleurs et des odeurs en prime. Les parfums font parfois voyager, comme une musique vous rappelle un vieux souvenir. C'est dans cette octave que je veux oublier mon être. Un nouvel orgasme auditif. »

Samedi 26 octobre 2013 à 15:30

 Poésie d'une clope, image d'un reflet, fascination d'une ombre, fumée aléatoire, mystère des notes, union du rythme, trésors des forces, règne des éléments naturels, curiosité de l'écriture, philosophie de l'infini, théories des évolutions, rêves et interprétations, signes du hasard, songes de l'ailleurs, beauté du plaisir, composantes du bonheur, vitesse contre tranquillité, secrets du sexe, créations des mondes, personnalités des semblables, recherche de l'innocence, perpétuelle vérité, variation des formes, diversité des couleurs, étranges comportements, esprit de compréhension, alliances et confiances, influence de la nuit, richesse de l'âme, écoute et réception, instinct animal, nature et autres retours, puissance de la foudre, la délicatesse des gouttes et la fragilité des bulles, l'entraide à partager, l'égoïsme ou l'ouverture. 
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